INTERVIDA collabore au Cameroun pour réduire la mortalité infantile

De nombreuses femmes meurent de complications diverses pendant la grossesse ou l'accouchement, comme nous l'avons signalé dans Bébés et plus, jusqu'à ½ million de femmes et sur ce chiffre, pas moins de 50% se produisent sur le continent africain.

Les pays sous-développés sont ceux qui souffrent le plus de cette situation, comme on peut le lire dans les actualités d’Acceso.com, certains décès pourraient être évités de la manière la plus simple que nous puissions imaginer, simplement qui aide et aide à accoucher une femme. précédemment les mains.

Cet exemple peut nous permettre de prendre pleinement conscience de la nécessité de fournir un enseignement, au moins élémentaire, sur le comportement hygiénique à suivre. Bien sûr, parfois, il ne s’agit pas de comportement, car vouloir se laver et ne pas manquer d’eau est une autre des situations à corriger. Les objectifs fixés par les Nations Unies jusqu'en 2015 sont nombreux et les collaborations ne sont pas très abondantes. INTERVIDA pose son grain de sable et dans le but de contribuer à l’un des objectifs fixés, celui de réduire la grande mortalité maternelle et infantile du Cameroun, a commencé à collaborer avec une congrégation de Carmélites Missionnaires Thérésiens dans un projet composé de diverses activités couvrant tout ce qui concerne la grossesse, l’accouchement et le post-partum.

On estime que grâce au projet, 30 000 habitants du pays peuvent en bénéficier et améliorer leurs conditions de vie. Tomber enceinte dans ce pays ou dans la plupart des pays qui composent le continent africain est un défi de taille qui pose divers problèmes à la future mère. Manque d'hygiène, malnutrition, manque d'eau, manque de moyens sanitaires… une longue liste que diverses organisations tentent d'alléger, ou du moins de minimiser.

Certaines ONG méritent un grand respect et une grande admiration pour le travail qu'elles tentent d'accomplir. À notre avis, INTERVIDA en fait partie. Nous avons parfois entendu dire que les contributions versées à certaines ONG n'atteignent jamais leur destination, du moins celles que nous connaissons sont dirigées par des personnes très responsables qui essaient d'aider les autres et essaient de fournir la preuve que l'aide est parvenue à son terme. port. Notre grain de sable est également nécessaire pour les mères et les enfants du tiers monde.