Les sociétés scientifiques montrent leur désaccord avec l'unique calendrier de vaccination minimal fixé par le ministère de la Santé

En dépit de la nécessité manifeste de plusieurs secteurs des professionnels de la santé et du travail accompli pour parvenir à un accord, Trois sociétés scientifiques de notre pays ont confirmé leur malaise face à la nouvelle de la presse spécialisée dans le domaine de la santé, à propos de la décision du ministère de la Santé de parier sur une calendrier unique des vaccins minimum.

L’Association espagnole de pédiatrie, l’association espagnole de vacunologie et l’association espagnole de médecine préventive, de santé publique et d’hygiène, doivent comprendre que le processus doit encore évoluer avec l’engagement de proposer des délais raisonnables pour la mise en œuvre des nouvelles recommandations. Autrement dit, le calendrier de vaccination unique est une question prioritaire, mais il doit être atteint de manière calme et raisonnée, sans causer d'effets collatéraux négatifs et avec le maximum de soutien possible des sociétés scientifiques, ainsi que des autres secteurs concernés, sans que les prémisses soient remplies.

Selon les sociétés scientifiques mentionnées, un calendrier unique est défini dans le document "Critères d'évaluation pour justifier les modifications dans le programme de vaccination en Espagne", approuvé par le Conseil interterritorial du Système de santé nationale en septembre 2012. Cette définition il envisage la possibilité de vacciner dans une tranche d’âge plutôt qu’à un âge donné, ce qui permet de conserver les recommandations actuelles et d’éviter de créer des problèmes inutiles.

Cependant, le calendrier minimum que nous venons de proposer contredit et invalide cet accord. En fait, les vaccins inscrits dans les calendriers de certaines communautés autonomes ont été retirés sans études permettant d'évaluer l'impact sur la santé des personnes touchées, et des décisions ont également été prises contrairement aux recommandations des sociétés scientifiques (telles que le passage de l'âge de vaccination au vaccin). papillomavirus humain à 14 ans, lorsque dans certaines autonomies, administré à des âges plus précoces).

L'urgence de mettre en place un calendrier unique dans tous les pays candidats. AA Il ne peut en aucun cas détériorer ou régresser certaines des stratégies vaccinales existantes dans plusieurs d’entre elles.

Intervention sur les maladies évitables par la vaccination

Les représentants des entités responsables du désaccord sur le calendrier minimal de vaccins (à publication imminente) précisent que «la vaccination avec des vaccins conjugués contre le pneumocoque est une priorité chez les enfants de moins de 5 ans, principalement chez les enfants de moins de deux ans».

Ils estiment également que la situation épidémiologique actuelle rend nécessaire une surveillance maximale de la coqueluche, de prendre des mesures d'intervention auprès de la population, telles que la vaccination des femmes enceintes au troisième trimestre.

Les seules motivations qui poussent les sociétés d'experts à formuler leurs recommandations cliniques reposent sur des bases scientifiques, publiques, éprouvées et approuvées par des organisations scientifiques internationales, et sont suivies dans un grand nombre de pays autour de nous.

La position des sociétés scientifiques est conformément aux propositions faites par le ministère de la Santé lui-même dans la présentation du programme et le carnet de vaccination, bien que ces sociétés ne participent pas aux décisions déjà prises par les autorités sanitaires.