La maltraitance des enfants provoque des problèmes de santé physique et mentale lorsque les enfants grandissent

Il existe un lien de causalité entre la «maltraitance non sexuelle d’enfants» (MINS) et une variété de troubles mentaux, consommation de drogue, tentative de suicide, MST et comportements sexuels à risque.

C’est la conclusion que le travail atteint «Conséquences à long terme sur la santé de la maltraitance physique, de la violence psychologique et de la négligence à l'égard des enfants: examen systématique et méta-analyse» - publié dans PLoS Med. -, qui a été examiné par les médecins Cuesta Montañes (Université de Córdoba / Argentine) et Juanes de Toledo (Équipe de soins de santé primaires Collado Villalba / Madrid).

Ceci est une étude qui Il vise à résumer les preuves existantes sur la relation entre la violence physique (violence physique), la violence psychologique et la négligencedans l’enfance et ses conséquences sur la santé physique et mentale ultérieure. R.E. Norman et ses collaborateurs (l'équipe qui a effectué le travail) ont mené une recherche dans Medline, EMBASE et PsycINFO dans des études de cohortes, transversales et cas-témoins publiées dans des journaux indexés jusqu'au 26 juin 2012.

Au cours du processus, ils ont effectué une recherche qui a examiné la association entre le MINS et ses conséquences sur la santé.

Cette revue est la première publication quantifiant la relation entre MINS et la maladie mentale, les troubles du comportement et les maladies somatiques.

Et c’est que les effets à long terme des abus sexuels sur enfants sont bien connus, mais les conséquences du MINS sur l’état de santé des personnes sont inconnues.

Bien que les résultats de cette méta-analyse doivent être interprétés avec prudence, étant donné ses limites, Les pédiatres en soins primaires ont une responsabilité très importante dans l'identification précoce de l'enfant victime de violence., prenez soin de votre santé, demandez l'aide d'agences de protection de l'enfance et faites la promotion de programmes de prévention, de soutien et de surveillance.

C’est un problème qui est sans aucun doute préoccupant pour les chiffres présentés par les organisations internationales: par exemple, l’OMS établit une prévalence de maltraitance physique qui toucherait entre 25 et 50% de la population enfantine. Il est évident que la violence psychologique et la négligence sont plus difficiles à quantifier, bien qu’elles se produisent et affectent également les enfants.